Presque
devant le monastère des Clarisses, dans la rue de Béthune: la
quincaillerie Vitrant (en 1914).
Vue
dans l'autre sens (carte postée en 1912)
Rue
de Béthune, sur la gauche : Le porche est l'entrée de la Drève
de Blaringhien.
En
poursuivant au numéro 49 de la Vanderhaghen : le pensionnat de La Sagesse
(crée en 1842) (La Sagesse)
(carte postée en 1909).
La
façade sous un autre angle.
Pratiquement
la même vue.
La
cour d'entrée vers le parc.
La
même vue a une autre date.
Et
vers les bâtiments.
Au
fond de la cour d'entrée.
La
porte de la façade intérieure.
La
galerie intérieure.
Cour
des petites
Le
corridor des salles de piano
Les
allées du jardin.
La
gloriette de la cour de récréation des grands.
Une
autre gloriette
La
première classe, c'est le nom de cette salle de classe (cachet
de la poste de 1912).
Une
classe.
La
salle de réunion.
La
salle des fêtes.
L'oratoire
des enfants de Marie
Et
les bancs au fond du jardin (en 1924).
Les
bancs au fond du jardin à une autre période
Un
coin du jardin.
La
grande allée
Notre
Dame de Bonne Garde.
Le
grand réfectoire.
Un
dortoir.
Dans
la propriété, la chapelle du pensionnat.
La
chapelle sous un autre angle
Le
portail de la chapelle.
Sous
un autre angle.
Une
vue sur l'intérieur de la chapelle.
Une
autre de la tribune de la chapelle.
Le
choeur de la chapelle.
Et
le choeur de la chapelle à l'occasion du mois de Marie
(en 1919).
Mais
à l'extérieur, les traces de la guerre 14-18 : le relais
de Boulogne en ruine (carte écrite en 1920).
La
même photo, mais d'un autre éditeur.
Le
calvaire de la rue du Cornet dont l'origine remonte à 1821 (Calvaire
de la rue Cornet).
En face de la Sagesse, dans le temps, une zone agricole (carte
écrite entre 1900 et 1909).
Une
vue plus récente du calvaire. De nos jours, en face de l'avenue
de l'Europe qui mène à un nouveau quartier : le Parc
Grand'Route
: nommée rue Vanderhaghen (vers 1912)
en mémoire d'Albert Vanderhaghen (1838-1907)
qui fit don à la ville de son château et de son parc (Château
Vanderhaghen).
Au coin à gauche : la brasserie Rose et l'entrée de la
rue de la Basse folie.
Rue Vanderhaghen après la guerre
Dans
la rue de la Basse-Folie (actuelle rue Florimond Crépin),
une vue sur l'arrière de la brasserie Rose.