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(D12) Dernière mise à jour : 24-Déc-2022
  1. Carrefour de la rue de la Gare et de la rue Auguste Potié (1921)
  2. Au 46 rue de la gare : les tissages mécaniques F. Leborgne qui deviendront les Tissages Motte (aujourd'hui totalement disparus). A leur emplacement un lotissement a été construit. C'est le sentier Wibaux.
  3. L'école du Sacré Coeur (cachet de la poste de 1919).
  4. La cour de l'école du Sacré Coeur.
  5. Plus loin, le patronage (sur la droite) fonctionne de 1919 à 1959 (Patronage d'autrefois) avant de devenir le cinéma Cinévog (Cinématographe). Le cercle catholique devint le CGH (Club Gymnastique Haubourdinois). École du Sacré-Cœur (sur la gauche) (devenue école St Michel).
  6. La rue du général Leclerc fut ouverte en 1867 sous le nom de rue de la Station mais les inscriptions portèrent aussitôt le nom de rue de la Gare. La 1ère maison, de 1873, est au coin de la place de la Gare. Construction en 1873 du pensionnat de St Joseph (devenu petit séminaire). La rue est devenue rue du général Leclerc en 1950. Pendant l'occupation 14-18, les Allemands y firent passer une ligne de tramway sur le trottoir de droite en montant vers la gare. La gare, construite en 1914, fût démontée en 1916, suite à de nombreux déraillements. (Cachet de la poste du 20-07-1914).
  7. Cette photo a été prise avant la mise en place de la bascule (voir photo suivante sur la droite).
  8. Au mois d'août 1887, une bascule publique est installée. Moyennant un droit à acquitter auprès d'un agent municipal, on pouvait faire peser véhicules ou marchandises de toutes sortes. Dans le petit bâtiment contigu, bâti en 1872 par l'architecte Lhermitte se tenait le bureau de l'Octroi. Les droits d'octroi étaient une taxe municipale, sorte d'impôt local sur les vins, bières et boissons se débitant à Haubourdin (Octroi accordé par Louis XV le 11 janvier 1935).
  9. La place de la bascule vers la rue Pasteur, le jardin public est clôturé (vers 1950).
  10. Tabac place de la bascule
  11. La place de la bascule sous un troisième angle.
  12. Bien avant la guerre de 1914-1918, au fond d'un espace vert, qui n'avait pas l'allure qu'il a pris aujourd'hui, se dressait un château, le château Vanderhaghen (avant 1910) (Château Vanderhaghen).
  13. Datant selon toute vraisemblance du 18è siècle D'après M. Testelin, M. Albert Vanderhaghen en fut le dernier propriétaire. Lorsque celui-ci mourut, en 1907, célibataire et sans descendance directe, c'est la ville d'Haubourdin qui hérita du château et du parc propriété de M. Albert Vanderhaghen. Depuis ce jour, le château prit le nom de son généreux donateur, et c'est ainsi qu'il reste connu. Le château servit, au fil du temps, de siège à la justice de paix, au conseil des Prud'hommes, à la Caisse d'Épargne, et enfin à la bibliothèque. (La voix du nord 14/08/1988).
  14. Une photo du château en bon état (vers 1950).
  15. Sans doute de la même époque.
  16. Le monument aux morts de la grande guerre (1914-1918) (Verdun 1916) (cachet de la poste de 1925) (Archives municipales).
  17. Le monument aux morts devant le château Vanderhaghen. Depuis, le château a été détruit et le monument déplacé dans le jardin public.
  18. Monument du jardin public : projet de l'architecte Lhermitte.
  19. Après le déplacement du monument.
  20. Le maire d'alors, Auguste POTIÉ (Auguste Potié) revendit la moitié de cette belle propriété à l'industriel Brabant -partie où se trouve de nos jours la Perception et la Maison de Retraite la Verderie-. Cette vente fût contestée par une grande partie de la population. L'excuse du Maire étant que cette affaire procurait à la commune les fonds nécessaires pour l'entretien et l'aménagement du jardin, devenu jardin public (en 1910) (Jardin public). Le château devait être démoli pour faire place à un parking (1960). Le vénérable château, très mal entretenu aurait pu être préservé.
  21. Dans le fond, la rue Leclerc.
  22. Une gloriette dans le jardin public dans une allée vers le château (cachet de la poste de 1912).
  23. Un coin du jardin public.
  24. Le jardin public et dans le fond, le château Vanderhaghen.
  25. En avril 1914, on avait construit au milieu du jardin un kiosque à musique (architecte Jules Saerens) et on le détruisit en 1960. C'est au jardin public qu'en septembre 1916, vint le général Paul Von Hindenburg avec le Kronpruiz Rupprecht de Bavière, pour une remise de décorations aux soldats qui avaient combattu à Fromelles dans le courant de l'été. (Cachet de la poste de Haubourdin du 19-07-1929).
  26. Vue sur une autre face.
  27. Et encore une autre vue du kiosque.
  28. Une photo du kiosque à musique peut-être plus récente. On aperçoit des bancs et des guirlandes électriques.
  29. L'entrée du jardin public sur la rue Sadi Carnot.
  30. Vers 1970, le jardin public est l'un des plus beaux de la région et met une note poétique au coeur de la cité (Haubourdin dix siècles d'histoire - Augustin Laleine et Mairie d'Haubourdin - 1972).
  31. L'écusson (Lion des Flandres) dans le jardin public
  32. Le monument aux morts.
  33. Le monument aux morts sous un autre angle.
  34. Abri
  35. Nichoir aux colombes (construit par Pierre Colombo).
  36. Une vue du jardin en 1986.
  37. La Deûle.
  38. Carte souvenir (1905) avec en vignette : le château Beaupré, l'hôpital-hospice, la grand place, la nef de St Maclou, le monument aux morts, la gare, la Deûle et l'église St Maclou.
  39. Carte souvenir (postée en 1910) avec en vignette : fontaine du jardin public, église St Maclou, mairie et massif de fleurs (photos d'après 1960)
  40. Carte souvenir (1912) avec 12 vignettes sur Haubourdin.
  41. Carte souvenir (cachet de la poste 1907)
  42. Carte souvenir avec en vignette : fontaine du jardin public, église St Maclou, mairie et massif de fleurs (photos d'après 1960)
  43. Carte souvenir "Amitiés de Haubourdin" (écrite en 1963).
  44. Carte souvenir (1982) avec en vignette : l'église St Maclou, le jardin public, la Deûle, l'Hôtel de ville et l'hôpital-hospice.
  45. Carte souvenir (éventuellement 1982) avec en vignette : l'église St Maclou, le jardin public et l'Hôtel de ville.
  46. Dans les “albums de Croÿ” on peut découvrir une peinture d'Haubourdin à l'orée du XVIIe siècle (voir Albums de Croÿ).

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